Personnage coloré, fille de party, cette auteure-compositrice-interprète fabrique de la pop à saveur humoristique. Adaptable et infatigable, Isabelle est créatrice de contenu et se balance sur le funambule entre l’humour et l’émotion. Elle est aussi éducatrice et productrice. L’actrice qui incarne le personnage de Ma tante Luce, est une grande voyageuse qui cherche à apporter un peu de légèreté partout où elle passe. Les univers du web qui l’habitent ne remplaceront jamais son amour pour la scène et la connexion avec son public.

James Viveiros est un artiste en danse. Il est d’origine crie métis,  et portugaise.  Ainsi, sa carrière s’étend sur plus de 25 ans, notamment avec la Compagnie Marie Chouinard de Montréal.

Suite à son diplôme du Grant MacEwan College (1998 – Alberta, Canada) en théâtre musical et en danse, on a pu voir James dans une multitude de pièces de théâtre. A la suite de cela, il a également été remarqué lors de performances, films et chorégraphies pour des événements internationaux.

En tant que pédagogue et professionnel reconnu du secteur, il met à profit sa riche expérience en dispensant des ateliers. C’est la raison pour laquelle, on le retrouve en danse contemporaine et en arts de la scène.  Ces ateliers, l’amène à oeuvrer avec des acteurs, artistes de cirque, yogis, joueurs de hockey, chanteurs d’opéra et le grand public. 

Danseuse pluridisciplinaires, Flany pratique et enseigne la danse Kizomba depuis de nombreuses années. Elle fait partie de plusieurs troupes de danses. 

Eloi Homier est un artiste qui est né et a grandi sur le territoire traditionnel Algonquin. 

Eloi s’exprime à travers différentes branches artistiques, notamment la danse, le théâtre, le tissage de ceinture…Derrière cet attrait artistique il y a également une recherche d’identité authentique et d’autres passions comme la pratique du canoë, mais aussi l’observation des étoiles et son pseudonyme “Moon Guy Next Door”, sur les territoires non cédés des nations xʷməθkʷəy̓əm (Musqueam), Sḵwx̱wú7mesh (Squamish), and səlilwətaɬ (Tsleil-Waututh).

Avec des lignées familiales remontant à 400 ans et plus sur le territoire maintenant appelé Québec, Eloi est dans un voyage de toute une vie. C’est de cette façon qu’il souhaite tisser ses lointaines origines gauloises avec son parsemage de racines wendat, abénaki, algonquin et nipissing. Tout cela pour donner une voix à ses ancêtres.

Johanna Bundon est une artiste indépendante.  Sa pratique comprend la performance de danse et de théâtre, la chorégraphie, l’enseignement et le rassemblement. Johanna a apporté de solides contributions au développement de nouveaux processus de travail et de création en Saskatchewan. En effet, c’est une figure dans la danse et le théâtre des 20 dernières années. Sa capacité à incarner des idées et à créer un espace génératif pour que de nouvelles œuvres s’épanouissent a fait d’elle une collaboratrice recherchée par les interprètes et les artistes de toutes les disciplines.

Johanna est une militante active des arts, avec un intérêt particulier pour la parentalité artistique, le mentorat entre pairs et de meilleures normes de pratique pour les artistes indépendants qui travaillent en Saskatchewan.

On a tous.tes déjà croisé un petit peu de Danilo quelque part. En effet, il porte en lui l’essence d’une vedette de karaoké, mi-crooner, mi-looser, accoudé au bar de l’hôtel-club. Mais à l’image de son rideau à franges irisées qui ne rate aucune de ses performances, il brille tout seul sur scène avec une aisance naturelle et un charisme évident.

Outsider à la façon de son Tessin familial (Suisse) d’où il hérite son nom, Danilo arrive pourtant à mettre tout le monde d’accord. Derrière sa dégaine faussement naïve et décalée se trouvent des textes sensibles et sincères sublimés par un son vintage dans lesquels chacun.e peut retrouver un bout de soi-même.

La sortie de son premier single “Bienvenue en enfer” marque sa fière entrée sur la scène pop francophone dont il s’empare avec un univers rafraîchissant et un brin punk.

Par la suite, la sortie de son EP “LMQR”, inspiré par l’attitude de Baxter Dury, la plume d’Étienne Daho ou encore l’énergie de Lescop promet de s’incruster dans les bandes-originales de road-trips passionnés.

Laura Niquay est une artiste atikamekw originaire de Wemotaci en Mauricie.

Elle est lauréate et récompensée à de nombreuses reprises notamment Lauréate du Félix pour Artiste autochtone de l’année et Album de l’année – Langues autochtones au gala de l’ADISQ. 

Laura se démarque par sa voix incomparable et en chantant dans sa langue autochtone: l’atikamekw. Choisie sur la Longue liste Polaris en 2021 et parmi les meilleurs albums de l’année, Waska Matisiwin est une œuvre sensible et grandiose. Son album nous dévoile également, son univers folk-grunge. Le spectacle est festif et nous fait vivre une montagne russe d’émotions. De ce fait, le public se laisse guider par le discours calme et authentique de Laura. Cela prend le temps de bien transmettre les valeurs de sa culture. En conclusion, une nomade bien ancrée dans son temps, une force tranquille qui se forge une place au cœur du paysage musical québécois contemporain.

Sylvie Walker est auteure-compositrice “prairie-folk” fransaskoise établie à Saskatoon, en Saskatchewan. Avec une voix douce et fluide, elle incarne un univers à la fois charmant et sincère, faisant écho aux sonorités que propose Andy Shauf. Ses compositions sont empreintes d’expériences personnelles et collectives qui explorent des thématiques profondes, telles que le deuil sous toutes ses formes. Avec une délicate touche d’humour, elle aborde des sujets parfois jugés tabous, comme l’histoire canadienne-française, la foi catholique et la mort. En 2013, elle a remporté le Prix de la chanson primée SOCAN au Festival international de la chanson de Granby (FICG) pour sa chanson ‘Ti cœur”. Elle vient tout juste de lancer son premier single “cimetière” qui est disponible sur son EP “mon doux seigneur”.