« Mon livre vient de 40 ans d’écriture de mes journaux. J’en avais deux gros paniers, j’ai pris le temps pour y passer au travers lors d’une résidence près de Santa Fe, dans le désert. J’ai passé à travers ma vie (…) J’ai brûlé tous mes journaux, je n’ai plus besoin de les traîner avec moi. »
« Mon livre vient de 40 ans d’écriture de mes journaux. J’en avais deux gros paniers, j’ai pris le temps pour y passer au travers lors d’une résidence près de Santa Fe, dans le désert. J’ai passé à travers ma vie (…) J’ai brûlé tous mes journaux, je n’ai plus besoin de les traîner avec moi. »
Marjorie Beaucage est une une cinéaste métisse bispirituelle qui habite Duck Lake, en Saskatchewan. Activiste et éducatrice, elle joue également un rôle crucial en tant que protectrice du territoire et marcheuse d’eau.
Née à Vassar, au Manitoba, au sein d’une grande famille métisse, Marjorie Beaucage a consacré sa vie à créer le changement social en offrant aux gens des outils pour créer des possibilités et des relations justes. Pour Marjorie Beaucage, raconter guérit.
En 2023, elle publie Leave some for the birds: Movements for Justice, un mémoire poétique, aux éditions Kegedonce.
En 2024, Marjorie est récipiendaire du Prix du Gouverneur général en arts visuels et en arts médiatiques.
Marjorie Beaucage est une une cinéaste métisse bispirituelle qui habite Duck Lake, en Saskatchewan. Activiste et éducatrice, elle joue également un rôle crucial en tant que protectrice du territoire et marcheuse d’eau.
Née à Vassar, au Manitoba, au sein d’une grande famille métisse, Marjorie Beaucage a consacré sa vie à créer le changement social en offrant aux gens des outils pour créer des possibilités et des relations justes. Pour Marjorie Beaucage, raconter guérit.
En 2023, elle publie Leave some for the birds: Movements for Justice, un mémoire poétique, aux éditions Kegedonce.
En 2024, Marjorie est récipiendaire du Prix du Gouverneur général en arts visuels et en arts médiatiques.
Marjorie a plus de 40 films à son actif. Elle accorde de l’espace à la diversité, donnant voix à celles et ceux qui n’ont souvent pas leur place dans les récits conventionnels.
Son dernier projet, Reducing the Harms of Colonialism, porte sur l’atténuation des préjudices à travers le portrait de six individus ayant surmonté l’adversité.
Son dernier livre, Leave some for the birds, (Laisses-en pour les oiseaux) témoigne de ses propres luttes pour la justice. Le lecteur-trice suit Marjorie Beaucage dans les saisons de sa vie, de son Manitoba natal aux Philippines, en passant par Toronto, où elle étudie le cinéma – à l’âge de 40 ans – et se livre dans un combat pour l’autogouvernance artistique autochtone.
Marjorie a plus de 40 films à son actif. Elle accorde de l’espace à la diversité, donnant voix à celles et ceux qui n’ont souvent pas leur place dans les récits conventionnels.
Son dernier projet, Reducing the Harms of Colonialism, porte sur l’atténuation des préjudices à travers le portrait de six individus ayant surmonté l’adversité.
Son dernier livre, Leave some for the birds, (Laisses-en pour les oiseaux) témoigne de ses propres luttes pour la justice. Le lecteur-trice suit Marjorie Beaucage dans les saisons de sa vie, de son Manitoba natal aux Philippines, en passant par Toronto, où elle étudie le cinéma – à l’âge de 40 ans – et se livre dans un combat pour l’autogouvernance artistique autochtone.
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