« Je crois que les arts en général aident à définir une communauté culturelle, qu’elle soit en milieu minoritaire ou majoritaire (…) Quand je vois tous les jeunes artistes fransaskois qui percent aujourd’hui, je vois qu’ils le font parce qu’ils ont confiance en eux-mêmes et dans leur talent. Il ne faut surtout pas avoir peur d’essayer – en théâtre, en écriture, en musique, en danse. »
« Je crois que les arts en général aident à définir une communauté culturelle, qu’elle soit en milieu minoritaire ou majoritaire (…) Quand je vois tous les jeunes artistes fransaskois qui percent aujourd’hui, je vois qu’ils le font parce qu’ils ont confiance en eux-mêmes et dans leur talent. Il ne faut surtout pas avoir peur d’essayer – en théâtre, en écriture, en musique, en danse. »
Laurier Gareau est l’un des auteurs fransaskois qui a le plus marqué le paysage culturel de la Saskatchewan.
Dramaturge prolifique, Laurier a écrit et mis en scène plus de 40 pièces de théâtre situées dans l’univers des francophones des Prairies. L’histoire des Métis et des Fransaskois se trouvent au cœur des ouvrages de ce natif de St-Isidore-de-Bellevue. Sa pièce de théâtre en un acte, La trahison (1998), aujourd’hui un classique de la littérature canadienne de l’Ouest, présente le chef Métis Gabriel Dumont à la veille de sa mort.
Laurier a aussi publié plusieurs pièces de théâtre aux Éditions de la nouvelle plume ainsi qu’un premier roman, De poussière et de vent (2016). En 2018, Laurier reçoit des mains de la Gouverneure générale du Canada, Julie Payette, l’Ordre du Canada « pour sa contribution aux domaines historique et culturel au niveau provincial, et pour son leadership dans le développement de l’identité fransaskoise ».
Après avoir œuvré de nombreuses années au sein de la Société Historique de la Saskatchewan, Laurier Gareau est présentement président des Éditions de la Nouvelle Plume, à Regina.
Laurier Gareau est l’un des auteurs fransaskois qui a le plus marqué le paysage culturel de la Saskatchewan.
Dramaturge prolifique, Laurier a écrit et mis en scène plus de 40 pièces de théâtre situées dans l’univers des francophones des Prairies. L’histoire des Métis et des Fransaskois se trouvent au cœur des ouvrages de ce natif de St-Isidore-de-Bellevue. Sa pièce de théâtre en un acte, La trahison (1998), aujourd’hui un classique de la littérature canadienne de l’Ouest, présente le chef Métis Gabriel Dumont à la veille de sa mort.
Laurier a aussi publié plusieurs pièces de théâtre aux Éditions de la nouvelle plume ainsi qu’un premier roman, De poussière et de vent (2016). En 2018, Laurier reçoit des mains de la Gouverneure générale du Canada, Julie Payette, l’Ordre du Canada « pour sa contribution aux domaines historique et culturel au niveau provincial, et pour son leadership dans le développement de l’identité fransaskoise ».
Après avoir œuvré de nombreuses années au sein de la Société Historique de la Saskatchewan, Laurier Gareau est présentement président des Éditions de la Nouvelle Plume, à Regina.
Dans ce premier roman, l’auteur fransaskois Laurier Gareau nous présente Hubert Lupien, dont la vie tendue aux quatre vents des Prairies qui l’ont vu naître sera modelée par les évènements qui secouent le siècle de la colonisation de l’Ouest canadien.
Du village de son enfance au collège des Jésuites, du Dust Bowl aux premières révoltes ouvrières, de la lutte pour conserver la langue et la culture des Canadiens français à la lutte intime qui décidera de sa réponse à l’appel de la conscription; l’histoire d’Hubert Lupien est aussi celle de ses contemporains.
Il s’agit de l’histoire d’un lieu et d’un moment dont l’écho fait encore entendre sa voix ici et maintenant. C’est une histoire d’un peuple que l’on a sans cesse voulu assujettir et qui a appris le difficile art de vivre debout, malgré le vent sans pitié de l’histoire et la poussière des hommes.
Dans ce premier roman, l’auteur fransaskois Laurier Gareau nous présente Hubert Lupien, dont la vie tendue aux quatre vents des Prairies qui l’ont vu naître sera modelée par les évènements qui secouent le siècle de la colonisation de l’Ouest canadien.
Du village de son enfance au collège des Jésuites, du Dust Bowl aux premières révoltes ouvrières, de la lutte pour conserver la langue et la culture des Canadiens français à la lutte intime qui décidera de sa réponse à l’appel de la conscription; l’histoire d’Hubert Lupien est aussi celle de ses contemporains.
Il s’agit de l’histoire d’un lieu et d’un moment dont l’écho fait encore entendre sa voix ici et maintenant. C’est une histoire d’un peuple que l’on a sans cesse voulu assujettir et qui a appris le difficile art de vivre debout, malgré le vent sans pitié de l’histoire et la poussière des hommes.
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